je
suis extrêmement fier de vous annoncer la fierté que je ressens en ce moment à
cause de l’impact que j’ai eu sur l’économie de notre grand Reich. Après avoir
reçu vos ordres le 30 juin, je m’en souviens comme si s’était hier, j’avais un
sourire que l’on ne pouvait pas effacer. Ribbentrop, votre ministre du Reich,
m’avait donner l’ordre de «sauvegarder» toutes possessions de valeurs étant en
possession des juifs. La quantité d’art que nous avions eu dans nos mains à ce
moment-là était incroyable. Par contre, je suis un peu faché que vous m’avez
mis du côté en 1940 durant cette opération de «sauvegarde». J’ai vraiment
apprécié les années que j’étais en pouvoir comme ambassadeur de l’Allemagne. De
plus, je suis content de voir que j’ai eu une aussi grande influence dans le
domaine de l’art, de la culture et de la propagande dans la France occupée. En
mai 1941, j’ai négocié les protocoles de Paris afin que l’Allemagne peut avoir
l’accès aux bases militaires françaises. Tout cela pour dire que je n’ai aucun
regret de vous avoir servi. J’espère qu’un jour, le Reich se levera encore et
démontra sa puissance glorieuse!
Sincèrement,
Otto Abetz
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